Deux jours étaient à présent passés depuis l’opération, Zasälamel avait réussi à vendre les objets de valeur les plus intéressent à des prix très élevé et avais décidé de donner une partie à Abysson pour le remercier d’avoir été désigné comme étant les voleurs à sa place.
Déambulant dans la ville, au hasard des rues, évitent les miliciens et se joignent à des badauds pour entendre des nouvelles fraîches, il fini par arrivé devant le bâtiment qu’il recherchait : le Dragon’s Cave. Entrant dans le bar, il alla s’installer à une table voisine où ce trouvaient Abysson et Smikir et commanda la meilleur boisson de l’établissement sans ce faire reconnaître, Zasälamel comptai, en effet, dans ces rangs une personne capable de changer l’apparence au yeux de tout le monde de n’importe qui, chose évidemment bien pratique dans ce genre de situation. Zasälamel pu donc écouté la conversation sans qu’ils ne se rendent compte que la personne dont ils parlaientt était assise juste à coté d'eux.
–Ah Maniss et à sa joie de vivre.
Tous les clients levèrent leur boisson et répéter, Zasälamel fit pareil, il était même celui qui avais pris la tète du mouvement, sa voix forte avais même presque couvert celle des autres. Abysson manqua de s’étranglé en entendent sa voix, la seul chose qui n’avais pas été modifier, il la reconnu de suite. Il se tourna vers le client en question mais l’homme qu’il avait en face lui était petit, maigre et blanc comme un linge, tout le contraire de la personne à qui il avait pensé entendre la voix.
Dans la forteresse du dessert de Liifria, dans une grande salle circulaire avec une grande table central, un homme était assis, les mains jointes soutenant sa tète ; en plaine méditation celui-ci fut interrompus par le croassement d’un grand corbeau possé juste devant lui. L’homme cessa sa concentration, ce levas, salua poliment l’oiseau et sortie.
De retour au bar, le client fixé par Abysson il y a quelque seconde ce leva et ce plaça près de lui.
–Excusé moi, mais pourrais-je vous parlez en privé, je vous pris ?
Abysson tourna lentement le regard et cette foi, l’homme qui se dressait à devant lui était bien l’homme de qui il avait reconnu la voix.